Briar Université – The Dare

• Auteur : Elle Kennedy
• Éditeur : Hugo Roman
• Collection : New romance
• Date de parution : 16 juin 2022

Résumé : L’université était censée être ma chance de surmonter mon complexe de vilain petit canard et de déployer mes ailes. Au lieu de cela, je me suis retrouvée dans une sororité pleine de filles odieuses. J’ai déjà du mal à m’intégrer, alors quand mes soeurs Kappa Chi me lancent le défi, je ne peux pas dire non.

Le défi : séduire la nouvelle recrue de l’équipe de hockey. Le mec le plus sexy de la classe.

Conor Edwards est un habitué des soirées de Greek Row… et des lits de la sororité. Il fait fondre les filles mais ne leur accorde jamais un second regard, surtout aux filles comme moi. Sauf que M. Populaire me surprend, au lieu de me rire au nez, il me fait une faveur en prétendant devant tout le monde que je l’intéresse.

Encore plus fou, il veut continuer à faire semblant. Il s’avère que Conor adore les jeux et il pense que c’est amusant de ridiculiser mes ennemis. Mais résister à son charme est presque impossible. Je me rends compte que l’histoire de Conor est bien plus compliquée que ce que son fan club peut voir. Et plus cette stupide ruse se prolonge, plus le danger est grand que tout cela m’explose à la figure.

Mon avis

Après une panne de lecture cet été et un moment où je n’avais vraiment plus le temps de lire à cause de mon mémoire, ça m’a fait tellement de bien de me lancer dans la lecture de ce roman… Ça faisait vraiment très longtemps que je n’avais pas ressenti ce sentiment durant une lecture. Vous savez, ce sentiment qui fait que quoi que vous fassiez, vous avez du mal à vous concentrer parce que vous n’avez qu’une envie, c’est de tout stopper pour retourner à votre roman ?

Avec Elle Kennedy, j’étais sûre de faire le bon choix ! Et je ne me suis pas trompée… Cette auteure est la championne pour écrire des romans addictifs à souhait !

Et pour être tout à fait honnête, ça faisait très longtemps que je n’avais pas lu de roman de chez Hugo Roman, et je pense que ça me manquait vraiment plus que tout ! J’avais besoin de retrouver ce sentiment que j’aime quand je lis leurs livres, ce sont toujours des lectures doudou, celles que je préfère, et j’avais besoin de ça. Ça a aussi très certainement joué dans mon ressenti sur ce roman…

J’ai aimé les thématiques abordées dans le roman. Je trouve que c’est un point qui apporte vraiment du plus à une lecture, on sent à travers les livres l’engagement des auteurs et pour moi, c’est vraiment un élément qui a son importance.

J’ai beaucoup apprécié le personnage de Taylor, en qui je me suis bien plus reconnue qu’avec les personnages féminins des romans précédents. Elle a des complexes qui me sont familiers et je me suis attachée à elle très facilement du coup. Et est-ce qu’on peut parler du personnage de Conor s’il vous plait ? Est-ce qu’on peut toute avoir un Conor dans notre vie surtout, s’il vous plait ? Ce mec c’est vraiment…. Conor Fucking Edwards !

Ce tome est différent des précédents à mon sens, mais toujours aussi addictif et vraiment une lecture au top ! Il clôture parfaitement cette saga géniale !

Quel est votre tome préféré de la saga ?

Scrap Metal – Deux mondes à l’opposé

• Auteur : Jana Rouze
• Editeur : Hugo Roman
• Collection : New Romance
• Date de parution : 8 octobre 2020

Résumé du premier tome : Tout commence par une lettre laissée à la hâte par un mort.

Trois mots inscrits d’une écriture tremblante livrent le nom d’un homme public et une ville.

Pour Sauvage, l’ancien sectateur qui la reçoit, c’est la fin d’une existence pitoyable : celle d’un enfant enlevé à l’âge de cinq ans, vendu à une secte réputée parmi les plus dangereuses. Il va pouvoir retrouver le jumeau dont il a été séparé, combler le vide de son existence, et se venger.

Entre la lettre et sa vengeance, il y a la fille de l’homme qui a été dénoncé.

Hope n’appartient pas à son monde.

Dans ses yeux de sectateur, c’est une Wog, une étrangère du monde extérieur.

Sectateurs et Wogs ne se mélangent pas, ne se touchent pas. Jamais.

Sauf quand leur malheur est étroitement lié.

Mon avis

Avant toute chose, si vous n’avez pas lu le premier tome de la série, je vous conseille de ne pas lire cet avis qui risque de vous spoiler !

Même si j’ai eu du mal à rentrer dans ce second tome, ayant oublié quelques détails du premier roman, j’ai adoré ce livre !

Dans cette suite, Hope et Sauvage évoluent chacun de leur côté afin de se reconstruire après les événements de fin du premier tome. Mais ils ne peuvent s’empêcher de penser l’un à l’autre, malgré la haine qui les anime.

J’ai adoré avoir de nombreuses révélations au sujet des personnages, mettre fin au suspens qui régnait à la fin du premier tome. On découvre également ce qui est arrivé au frère de Sauvage, et j’avoue que je ne m’attendais vraiment pas à cela !

Comme pour le premier tome, je n’ai pas hésité à mettre des post-its dans le roman aux moments où il y avait des explications ou des révélations afin de pouvoir m’en souvenir, ou de retrouver plus facilement un passage dont je ne me souviens plus. Ce tome est moins complexe à lire que le précédent, puisque nous avons beaucoup moins d’explications au sujet des sectes, mais j’ai quand même parfois eu un peu de mal à suivre l’enquête que je trouve assez compliquée (surtout quand on a pas le premier tome sous la maison pour se rappeler les événements précédents). Mais cela ne m’a pas empêchée d’apprécier ma lecture !

J’ai été assez embêtée au début de voir que le roman parlait du coronavirus… Cela me dérangeait car il prend déjà tant de place dans notre vie actuelle, il nous gâche tellement la vie que je n’avais vraiment pas envie de le retrouver dans une histoire. Quand je lis un livre, c’est pour m’évader, et l’évocation du virus me ramenait un peu trop dans la réalité… Mais dans les remerciements, Jana Rouze explique pourquoi elle parle du covid dans son histoire, et j’avoue que cela m’a fait changer d’avis, j’ai compris pourquoi elle s’était sentie obligée de l’intégrer à son roman et j’ai trouvé cela plutôt logique finalement.

Côté personnages, j’ai toujours un peu de mal avec celui de Hope, que je n’arrive pas toujours à comprendre.. Cette histoire d’amour semble relativement malsaine au vu de ce que chaque famille a fait à l’autre… Malgré tout, on voit que les deux personnages sont vraiment attirés et s’aiment véritablement. J’ai réussi à m’attacher un peu plus au personnage de Sauvage que je trouve touchant. Il a vécu des choses terribles, mais tente tout de même de se reconstruire malgré la fin supposée pour lui.

J’ai très hâte de découvrir la suite de la saga qui sort au mois de mars ! Je remercie les éditions Hugo Roman pour cet envoi, le dernier de mon partenariat avec eux. Je les remercie pour cette année riche en merveilleuses lectures, et j’espère pouvoir réitérer cette expérience l’année prochaine.

Est-ce que vous lisez la saga Scrap Metal ? Sinon, est-ce qu’elle vous tente ?

Sex not love

• Auteur : Vi Keeland
• Editeur : Hugo Roman
• Collection : New Romance
• Date de parution : 3 décembre 2020

Résumé : Natalia et Hunter sont d’accord sur une chose : ils ne souhaitent pas se lancer dans une relation sérieuse.

Natalia sort d’un relation qui a mis à mal sa confiance en la gent masculine : l’homme qui partageait sa vie est en prison pour escroquerie et lui a laissé sa fille adolescente à élever. Alors quand elle rencontre Hunter lors du mariage d’amis communs, elle admet volontiers qu’il lui plaît assez pour passer une nuit avec lui mais elle ne souhaite pas aller plus loin. Surtout qu’il vit en Californie alors qu’elle réside à New York.

Mais elle va de nouveau croiser Hunter qui doit passer quelques semaines dans sa ville et il semble toujours attiré par elle. Pourquoi ne pas entamer une relation simple, sexuelle, pour leur plaisir mutuel ?

Natalia cède à la tentation même si elle sait qu’elle prend le risque de s’attacher à un Hunter au charme irrésistible et plus mystérieux qu’elle ne le pensait.

Mon avis

J’aime beaucoup la plume de Vi Keeland, alors ce roman fut une très bonne lecture, même si quelques petits détails m’ont un peu dérangée.

Dans Sex not love, on découvre Natalia et Hunter, qui se rencontrent au mariage de leurs meilleurs amis. Ils tombent tous les deux sous le charme l’un de l’autre, mais entre eux les choses sont claires, il n’y aura que du sexe, et rien de plus, Natalia ayant beaucoup souffert de sa relation précédente, et Hunter cachant un secret qui l’empêche de se laisser aller à tomber amoureux.

J’avais un peu peur en commençant cette lecture, parce que j’ai entendu beaucoup d’avis plutôt mitigés. Pour ma part, ce livre fut une bonne lecture. La plume de Vi Keeland est toujours aussi addictive, c’est une auteure que j’aime beaucoup, et dont j’ai lu pas mal de livres maintenant. Le roman se lit assez rapidement, les chapitres sont de parfaite longueur pour moi.

J’ai beaucoup aimé suivre l’histoire de Natalia et de sa belle-fille. J’ai trouvé que les choses étaient bien construites et cohérentes. Les personnages sont attachants et même si j’avais du mal avec celui d’Izzy au début du livre, elle m’a finalement émue, c’est une jeune fille bien plus mature que ce que l’on peut penser au début de l’histoire. Le personnage d’Hunter m’a aussi beaucoup touchée de par son passé, et le secret qu’il cache. J’ai aimé lire les chapitres en lien avec son frère et son ancienne petite amie. On comprend mieux le fait qu’il ne veuille pas plus que du sexe avec Natalia, cependant je trouve que son insistance envers elle est donc incohérente avec sa façon d’agir.

C’est ce qui m’a légèrement agacée : que Hunter fasse tout pour se rapprocher de Natalia et vivre quelque chose avec elle, tout en sachant pertinemment que cela n’ira pas plus loin que le sexe. A quoi bon s’acharner si ce n’est qu’une histoire de coucheries ? On pourrait se dire que c’est pour son ego, et parce que le fait que Natalia lui résiste lui donne encore plus envie de l’avoir, c’est un schéma que l’on voit dans beaucoup d’histoire. Mais pas ici, vu sa façon d’agir avec elle, on sent qu’il y a plus, qu’il est vraiment sous son charme et attaché à elle, et j’avoue que j’ai trouvé cela un petit peu incohérent.

Des petits détails m’ont également dérangée, comme la scène de la jarretière au début du roman par exemple. Je pense que tout le monde connait la tradition de la jarretière retirée à la mariée durant la fête du mariage, tout comme le lancer du bouquet. Cependant dans le livre, l’auteure nous parle de la « suite » de ces traditions, qui consiste à ce que l’homme qui a attrapé la jarretière l’enfile à la femme qui a attrapé le bouquet, et cette partie m’a fait tiquer. En effet, si les mariés ont choisi d’honorer la tradition de la jarretière, c’est leur décision puisqu’ils ont eu le temps d’y réfléchir avant leur mariage, mais pour la suite, j’ai trouvé qu’il s’agissait d’une étape bien trop intrusive, et dérangeante. Cette scène qui devait nous montrer l’alchimie présente entre les deux personnages m’a plus mise à l’aise qu’autre chose…

Malgré ces petits détails, je ressors quand même contente de cette lecture, j’ai un avis plus positif sur ce livre que ce que j’imaginais. Je remercie les éditions Hugo Roman pour cet envoi.

Quel est votre livre préféré de Vi Keeland ? Est-ce que Sex not love vous tente ?

Mount série – L’empire du mal

• Auteur : Meghan March
• Editeur : Hugo Roman
• Collection : New Romance
• Date de parution : 4 décembre 2020

Résumé du premier tome : Vous ne connaissez pas mon nom, mais je contrôle tout ce que vous voyez et tout ce que vous ne voyez pas. Mon pouvoir n’a pas de limites et mes envies sont toujours satisfaites.

Elle ne sait pas qu’elle a attiré mon attention. Elle aurait dû être plus prudente. Elle va m’appartenir. Il est temps de récupérer ce qu’on me doit. Keira Kilgore, vous êtes maintenant la propriété de Lachlan Mount.

La combinaison de l’action, du suspense et des relations torrides des protagonistes fait de ce livre une lecture divertissante et captivante !

Mon avis

Avant toute chose, si vous n’avez pas lu les tomes précédents de la série, je vous conseille de ne pas lire cet avis qui risque de vous spoiler !

Si le premier tome avait été une grosse déception, j’avais légèrement préféré le deuxième, et j’en attendais beaucoup de ce troisième tome. Au final, c’est celui-ci que j’ai préféré, comme je l’espérais, même si on est très loin du coup de coeur. J’ai apprécié ma lecture, mais je n’étais pas non plus extrêmement emballée.

Dans ce tome, on découvre la suite des événements après l’accident de voiture dont sont victimes Lachlan et Keira, qui va mener à des règlements de comptes.

Dans ce tome, on fait fasse à de nombreux rebondissements, à des réponses, et j’avoue avoir plutôt apprécié le rythme que cela donnait à l’histoire. On a des réponses quant à la façon dont Mount est arrivé au pouvoir, et j’ai aimé en apprendre plus sur son passé de cette façon. Je ne m’attendais pas du tout à la tournure qu’a pris l’histoire, et c’est ce qui a fait que ce tome est celui que j’ai préféré, parce qu’il m’a surprise, mais aussi parce qu’un certain rebondissement m’a quelque peu tenue en haleine.

On fait face à un personnage féminin qui ne se laisse plus faire, qui s’impose enfin, et c’est appréciable ! On découvre que finalement, Lachlan a un coeur, qu’il n’est pas le monstre que l’on laisse paraitre dans les premiers tomes. Malgré tout, cela ne me fait pas oublier sa façon de traiter Keira au début de l’histoire. A cause de cela, je n’ai pas réussi à m’attacher à leur histoire d’amour, que j’ai trouvé basée sur trop d’irrespect. Même si j’ai apprécié voir l’évolution des sentiments entre eux, ainsi que l’évolution de leurs mentalités, ce n’est pas un couple que je garderai dans mon coeur, loin de là.

Mon avis globale sur les trois tomes est donc vraiment mitigé. J’ai trouvé la saga trop vulgaire, dérangeante et en particulier dans le tome 1. Ce n’est pas une saga que je relirai, ça c’est sur. Malgré tout, je peux vous la conseiller si vous aimez les dark romances. Je remercie Hugo Roman pour l’envoi de ce dernier tome.

Est-ce que la saga vous tente ? Ou si vous l’avez lue, l’avez-vous aimée ?

Love & rehab

• Auteur : Jay Crownover
• Editeur : Hugo Roman
• Collection : New Romance
• Date de parution : 12 novembre 2020

Résumé : Elle ne le connaissait presque pas, pourtant, elle a été la seule à voir les signaux d’alerte. Cable James McCaffrey, si cool et populaire, est un junkie au bord de l’auto-destruction. Affton a trop souffert de l’addiction de sa propre mère pour ne pas au moins donner l’alerte, aussi odieux soit ce garçon.

Quand la mère de Cable apprend qu’une personne est assez folle pour se préoccuper sincèrement de son fils, elle s’empresse de faire une proposition à Affton : passer l’été en compagnie de Cable dans une villa du bord de mer et s’assurer qu’il ne retombe pas dans la drogue. Un service qu’elle saura payer suffisamment généreusement pour permettre à Affton d’étudier dans l’université de ses rêves.

Comment refuser ? Affton en est incapable, même en sachant pertinemment que Cable va détester ce projet. Et, surtout, qu’il est susceptible de développer chez elle une tout autre forme d’addiction, peut-être plus dangereuse encore…

Mon avis

J’ai tout de suite été happée par l’histoire. Le roman commence par une introduction de Jay Crownover dans laquelle elle nous avoue s’être inspirée par ce qu’elle a pu vivre dans le passé avec son ancien petit ami pour écrire ce livre. Cette confession m’a d’autant plus donné envie de le découvrir. Bien que l’histoire ne soit pas des plus originales, puisque l’on se retrouve à suivre un bad boy ancien drogué, et une jeune fille major de sa promo, sage comme une image, qui vont tomber amoureux, elle fait quand même son petit effet, et j’avoue que même si ce n’est pas un coup de coeur, j’ai vraiment adoré ce roman !

Dans Love & Rehab, on va suivre le personnage de Cable qui vient de sortir d’une cure de désintoxication précédée d’un séjour en prison. Sa mère aillant peur qu’il retombe dans ses anciens travers en retrouvant sa liberté, engage à force de chantage Affton, une ancienne camarade de classe, afin de veiller sur lui durant tout l’été. Cette dernière devra s’assurer que Cable ne prennent aucune drogue, ni aucun alcool, et qu’il honorera chaque semaine ses rendez-vous avec son thérapeute. Mais la jeune femme n’est pas ravie de se retrouver une fois de plus en compagnie d’une personne addict, ayant vu sa mère mourir quelques années auparavant d’une overdose…

C’était pour moi une redécouverte de la plume de Jay Crownover, puisque j’avais lu le premier tome de Wild men il y a très très longtemps maintenant, et j’ai adoré. Je l’ai trouvé très addictive et dynamique, l’histoire était fluide et bien construite. L’auteure aborde un sujet important qui est l’addiction aux drogues, et elle le fait avec brio. On voit rapidement qu’elle se représente vraiment dans le personnage d’Affton au vu de ses réactions, de ses façons d’agir. Elle lui a donné un passif émouvant qui nous fait vite comprendre qu’elle sait de quoi elle parle.

L’histoire se passe au bord de la mer, et j’ai adoré l’ambiance que cela donnait au roman, on s’y serait presque crus tant l’auteure arrive à nous plonger facilement dans son univers. Bon, j’avoue par contre m’être plusieurs fois énervée en lisant des passages où Cable jette ses mégots dans le sable, ça m’a un peu insupportée, en particulier à une époque où notre planète a tant besoin que l’on fasse attention à elle. Je pense que ce n’est vraiment pas un bon exemple et que l’auteure n’aurait pas dû inclure ce genre de gestes dans son récit, cela dévalorise son personnage qui tente pourtant de devenir meilleur.

En parlant justement des personnages, j’ai aimé pouvoir suivre l’évolution de Cable, on voit qu’il fait vraiment tout son possible pour s’en sortir, il a une grande détermination et ses blessures passées le rendent si émouvant et attachant (bon, même s’il jette ses mégots dans le sable !). On a vraiment envie de l’aider à s’en sortir, le soutenir. Affton est également touchante. Elle a vécu la perte de sa maman à cause des drogues et on voit qu’elle veut vraiment aider Cable à s’en sortir, même si elle le déteste au début du roman, sa bienveillance prime sur ses sentiments envers lui.

La romance prend son temps, elle n’arrive qu’à la moitié du roman et ça permet de voir la tension entre Cable et Affton grandir, mais également de les voir développer des sentiments l’un pour l’autre, et j’ai adoré !

Ce roman m’a encore plus donné envie de découvrir les Marked Men, dont les 2 premiers tomes trainent dans ma PAL depuis un bon moment ! Je pense qu’il serait temps de les sortir, parce que j’entends énormément de bien de ces livres, et je pense qu’ils pourront vraiment beaucoup me plaire ! Je remercie Hugo Roman pour l’envoi de cette jolie romance.

Avez-vous déjà lu ce roman ? Qu’en avez-vous pensé ou sinon, est-ce qu’il vous tente ?

Mount série – La reine de pique

• Auteur : Meghan March
• Editeur : Hugo Roman
• Collection : New Romance
• Date de parution : 12 novembre 2020

Résumé du premier tome : Vous ne connaissez pas mon nom, mais je contrôle tout ce que vous voyez et tout ce que vous ne voyez pas. Mon pouvoir n’a pas de limites et mes envies sont toujours satisfaites.

Elle ne sait pas qu’elle a attiré mon attention. Elle aurait dû être plus prudente. Elle va m’appartenir. Il est temps de récupérer ce qu’on me doit. Keira Kilgore, vous êtes maintenant la propriété de Lachlan Mount.

La combinaison de l’action, du suspense et des relations torrides des protagonistes fait de ce livre une lecture divertissante et captivante !

Mon avis

Avant toute chose, si vous n’avez pas lu le premier tome de la série, je vous conseille de ne pas lire cet avis qui risque de vous spoiler !

J’avais eu beaucoup de mal à lire le premier tome, qui me rendait souvent mal à l’aise au vu de l’histoire que j’ai trouvée vraiment malsaine. Et ce tome 2 n’échappe également pas à ce reproche ! Je l’ai tout de même plus apprécié que le premier.

Dans ce tome, on voit réapparaitre le mari de Keira, censé être mort. On découvre qu’après l’avoir agressée dans son appartement, il la fait maintenant chanter afin de lui soutirer plus d’argent qu’il ne l’a déjà fait. Mais Mount ne supporte pas que quelqu’un puisse essayer de s’en prendre à elle : elle est sa propriété. Il va donc régler cette histoire à sa manière, ce qui va renforcer l’emprise qu’il possède sur elle.

La fin du premier tome était très intrigante et donnait vraiment envie de découvrir ce qui allait se passer dans le deuxième tome. Malheureusement, j’ai trouvé que la révélation était beaucoup trop peu approfondie. Je pensais qu’elle allait apporter des rebondissements à l’histoire mais en 2 ou 3 chapitres, le problème est résolu et on n’en entend plus parler ! Tout le milieu de l’histoire ne se résume qu’au sexe, avec des scènes très détaillées, et beaucoup trop crues pour moi. Ce n’est que vers la fin qu’elle s’améliore un peu.

Ce tome constitue clairement une transition entre le premier et le dernier de la série. On voit les sentiments des personnages évoluer, on a plus de précisions quant à ce que Mount a pu vivre dans son enfance, ce qui nous permet un peu mieux de le comprendre, même si ça ne nous fait pas accepter son comportement pour autant, on devine d’où lui viennent ses obsessions et son envie de pouvoir. Pour le personnage de Keira, j’ai trouvé que malgré son semblant de résistance envers Lachlan, elle manque encore de caractère et je n’arrive toujours pas à comprendre comment elle peut réussir à trouver du plaisir dans ce qu’il lui fait vivre.

J’ai apprécié le passage où les personnages sont à Dublin, qui nous fait voyager et durant lequel Lachlan se révèle plus docile, voir même mignon. C’est appréciable de le voir baisser ses barrières et de suivre son évolution. J’aurais presque pu m’attacher à lui s’il n’avait pas eu ce comportement au début de la saga, si l’histoire n’avait pas été basée sur un tel chantage sexuel. Ce voyage nous permet également d’exploiter un peu plus le côté professionnel de Keira, ce qui me manquait dans le premier tome. J’ai apprécié pouvoir lire plus de passages en rapport avec son métier, la voir aussi passionnée par ce qu’elle fait, et j’espère que cela continuera dans le dernier tome.

Malgré tout, l’auteure arrive toujours à glisser un rebondissement à la fin qui donne vraiment envie de lire la suite. Je pense que j’apprécierai bien plus le troisième tome que les deux premiers, j’avoue que j’attends beaucoup de ce final ! Je remercie les éditions Hugo Roman pour l’envoi de ce tome.

Si vous l’avez lue, quel tome avez-vous le plus aimé de cette saga ? Aimez-vous les romans avec des scènes de sexe crues et très explicites ?

Campus drivers – Crash test

• Auteur : C.S. Quill
• Editeur : Hugo Roman
• Collection : New Romance
• Date de parution : 5 novembre 2020

Résumé : Lorsque Lewis se retrouve avec trois meilleurs amis en couple et une stagiaire à former pour la relève des Campus Drivers, son dernier semestre à la fac prend une allure de cauchemar. Sans compter que la stagiaire en question n’a rien de l’élève parfaite ! 

En débarquant dans une nouvelle université, Amy a promis à sa soeur de se tenir aussi loin que possible des ennuis. Alors, quand Lewis Conley lui propose une période d’essai en tant que chauffeur, c’est l’occasion rêvée de se ranger… Et de passer du temps avec celui pour qui elle craque malgré elle. 

Mécanicienne hors pair, elle va devoir apprendre à ses dépends que la mécanique du coeur est encore plus complexe qu’il n’y paraît. 

Quant à Lewis, la course sauvage dans laquelle Amy va l’entraîner risque de le faire dévier de sa trajectoire toute tracée.

Mon avis

C’est une super lecture qui cloture la saga Campus Drivers. J’avais hâte de découvrir le personnage de Lewis, le petit rigolo de la bande, et j’ai passé un super moment.

Dans ce tome explosif, les Campus Drivers ont pour mission de former les stagiaires qui prendront la relève de l’application une fois que ces derniers seront partis de l’université. On suit donc le personnage de Lewis qui est chargé de former Amy, une nouvelle étudiante arrivant tout droit de New York. La tension entre eux est immédiate, ce qui ne va pas facilité la formation. Cependant, Lewis est complètement fermé à l’idée d’avoir une petite amie.

Il s’agit d’un tome assez étonnant et j’ai trouvé qu’on s’éloignait du genre des 2 premiers, je pense que c’est ce qui a fait qu’il n’a pas été un coup de coeur comme les précédents, même s’il s’agit d’une excellente lecture. Bien évidemment, l’écriture de C.S. Quill est toujours aussi addictive ! L’histoire est pleine de rebondissements ce qui donne toujours envie d’en connaitre plus. Ce tome tourne autour de l’univers des voitures, de la mécanique ce que j’ai beaucoup aimé, j’ai trouvé que c’était un sujet original pour une romance !

J’avoue avoir eu un peu de mal avec le personnage d’Amy tout au long du roman. Elle a un tempérament explosif, qui fait son « charme », mais elle m’a parfois un peu agacée et j’ai eu du mal à m’identifier à elle. J’ai malgré tout apprécié qu’elle ne se laisse jamais faire, c’est une femme forte et indépendante. Pour Lewis, comme je m’y attendais, c’est un personnage vraiment très drôle. J’ai adoré le voir évoluer grâce à sa relation avec Amy. J’ai beaucoup apprécié également qu’il ait la tête sur les épaules, qu’il ne voit pas son avenir uniquement à travers le basket mais qu’il ait d’autres projets, d’autres loisirs qui le passionnent.

J’ai adoré pouvoir retrouver les personnages des autres tomes, ce qui nous permet de continuer à suivre leurs histoires d’amour. Cette petite bande de copains est vraiment géniale et je suis triste de devoir les laisser.

L’auteure apporte une vraie conclusion à sa saga avec la fin des cours à l’université pour les Campus Drivers, ainsi que l’évolution à laquelle va avoir droit l’application. Malgré tout, j’espère toujours que C.S. Quill décidera d’écrire un quatrième tome sur le personnage d’Adam, qui pour moi, mérite tout autant que ses compères un tome en son honneur ! Je remercie les éditions Hugo Roman pour l’envoi de ce dernier tome.

Si ce n’est pas déjà fait, allez-vous craquer pour la saga Campus Drivers ? Si vous les avez lu, quel a été votre tome préféré ?

Les oubliés de Noël

• Auteur : Manon Kaljar
• Editeur : Hugo Roman
• Collection : New Romance
• Date de parution : 8 octobre 2020

Résumé : Les cadeaux ne viennent pas toujours du Père Noël

Bénévole pour l’aide alimentaire aux sans-abri de Londres, Elliott a déjà été confronté à beaucoup de situations inattendues, mais c’est la première fois qu’il se retrouve nez à nez avec une star en fuite. Malgré lui, il décide de prendre l’inconnue sous son aile et l’invite à découvrir un monde à l’opposé du sien, loin de l’hypocrisie et des paillettes.

Cet univers de faux-semblants, Cassiopée espère le quitter pour enfin passer un Noël sous le signe de la bienveillance et au sein d’une famille. Alors en dépit des réticences d’Elliott, qui fuit comme la peste ce milieu de faste et de paparazzis, la jeune femme saisit cette occasion unique d’aider et de faire le bien au côté des volontaires de l’association. Après tout, leurs univers ne sont peut-être pas si éloignés que ça…

Quand l’ombre des rues rencontre la lumière des projecteurs, tous les espoirs sont permis. Même celui de fêter Noël au chaud !

Mon avis

J’ai adoré cette histoire, touchante, triste mais à la fois si belle. Je voulais prendre mon temps pour le lire mais je l’ai finalement dévoré presque sans me rendre compte de la vitesse à laquelle les chapitres défilaient.

Ce roman relate l’histoire d’Elliott Knight, bénévole pour l’association Food for life créée par ses parents afin de venir en aide aux sans-abris. Un soir, il trouve auprès de Margaret, une femme qu’il a l’habitude d’aider et qu’il apprécie tout particulièrement, Cassiopée Montrouge, une jeune actrice qui s’est enfuie d’un diner, exténuée de se sentir oppressée par l’hypocrisie de son monde et les paparazzis. Il décide d’aider la jeune femme qui va saisir cette occasion de faire le bien autour d’elle et de devenir à son tour bénévole pour aider les plus démunis. Mais la relation entre eux commence difficilement, puisqu’à cause de sa rencontre avec Calliopée, Elliott se retrouve en couverture des magazines people, lui qui se donnait beaucoup de mal depuis longtemps pour vivre le plus loin possible de la presse.

J’ai été ravie de pouvoir découvrir la jolie plume de Manon Kaljar grâce à ce roman. Je trouve déjà le titre très parlant, vraiment bien trouvé pour cette histoire qui met en avant la confrontation entre les deux mondes, celui des strass et des paillettes et celui de la précarité. C’était totalement addictif, comme je l’ai dit précédemment, je n’ai pas vu défiler les chapitres. L’histoire est bien construite et passe de rebondissement en rebondissement, tout cela de manière très fluide, ce qui donne toujours envie d’en apprendre plus.

L’histoire est entièrement rédigée du point de vue d’Elliott (à l’exception du premier et du dernier chapitre). J’ai trouvé cela original étant donné que d’habitude, nous avons plutôt soit le point de vue du personnage féminin, soit une alternance entre les deux, mais on trouve très rarement des romans dont l’histoire est racontée uniquement par le personnage masculin. C’était d’autant plus plaisant pour moi parce que je me suis très rapidement attachée au personnage d’Elliott, par contre j’ai eu plus de mal avec celui de Calliopée. J’ai mis du temps avant de réussir à m’identifier à elle et à l’apprécier. J’ai parfois eu du mal à comprendre ses réactions et ses façons de penser. Mais on découvre finalement une jeune femme touchante, qui souffre réellement de sa notoriété, et on finit par s’attacher à elle.

Les descriptions pleines de nostalgie m’ont émue. Elles nous permettent de comprendre vraiment ce que ressent Elliott, ses sentiments par rapport à la perte de sa famille. J’ai également été touchée par la complicité entre Olivia et lui qui est flagrante. Je me suis aussi beaucoup attachée au personnage de Maggie qui fait entièrement partie de cette petite famille et qui est une femme adorable. On voit qu’elle aime Elliott et Olivia comme s’ils étaient ses enfants, et j’ai adoré cette complicité entre eux. Les personnages secondaires ont une place très importante dans le roman, et sont tout aussi attachants que les principaux !

La romance met énormément de temps à se mettre en place dans l’histoire puisque le premier bisou entre les deux personnages n’arrive que vers la dernière partie du roman. Ils prennent le temps d’apprendre à se connaitre, je dirais même à s’apprivoiser. Je n’ai pas été plus touchée que cela par cette histoire d’amour, je pense que c’est ce qui fait que le roman n’a pas été un coup de cour pour moi, mais je l’ai tout de même trouvée très belle.

Je remercie beaucoup les éditions Hugo Roman pour l’envoi de cette jolie romance de Noël qui me donne encore plus envie de découvrir les deux autres qu’ils ont publiées ! Les ours mal léchés s’apprivoisent à Noël est d’ailleurs déjà dans ma PAL !

Laquelle des quatre romances de Noël de chez Hugo Roman vous tente le plus cette année ?

Meilleurs voeux et va au diable

• Auteur : Emilie Parizot
• Editeur : Hugo Roman
• Collection : New Romance
• Date de parution : 8 octobre 2020

Résumé : Coline file le parfait amour avec… Chez Marcelle, la petite boutique de décoration florissante qu’elle a créée il y a quatre ans et qui, depuis, occupe tout son temps. Chez elle, chaque objet est choisi avec tendresse. Du coup, les hommes sont loin d’être sa priorité. De toute façon elle n’a connu que quelques histoires beaucoup trop courtes pour satisfaire son âme romantique.

Pourtant, elle est presque séduite lorsqu’un client particulièrement à son goût lui fait les yeux doux… et très déçue en découvrant que ce vil charmeur n’est autre que le propriétaire du nouveau magasin de décoration qui vient d’ouvrir juste en face du sien. Et dire qu’elle se voyait déjà à son bras, alors qu’il étudiait simplement la concurrence ! Elle aurait, à la limite, pu lui pardonner de lui avoir donné de faux espoirs, mais elle ne risque pas d’oublier la menace qu’il fait peser sur sa petite entreprise adorée.

Coline ne compte pas se laisser faire… que le meilleur gagne !

Mon avis

J’ai adoré cette première romance de Noël ! J’étais ravie quand j’ai découvert que cette année, Hugo Roman ne sortait pas un, mais quatre romans pour les fêtes ! C’est le genre d’histoire que j’adore lire à cette période de l’année qui est ma préférée !

Dans ce roman, on suit Coline qui tient une petite boutique de décoration. Elle voit s’installer quelques semaines avant Noël, une boutique concurrente juste en face de la sienne, tenue par un homme très séduisant. Mais rien ne peut se passer avec Adam, qu’elle voit comme une menace pour son commerce.

Dans cette histoire, on trouve un schéma hate-to-love entre Coline et Adam, un type d’histoire que j’aime beaucoup car elles sont souvent très drôles. Et ce fut le cas ici, j’ai beaucoup rigolé pendant cette lecture. Coline se retrouve parfois dans des situations hilarantes pour essayer de voler quelques clients à son concurrent. Ce petit jeu du chat et de la souris m’a bien amusée.

L’histoire se passe pendant tout le mois de décembre, on suit les deux commerçants dans leur boutique durant la période des fêtes. J’ai beaucoup aimé cette ambiance festive, surtout quand les personnages se promenaient au marché de Noël, cela m’a réconfortée de lire ce genre de scènes sachant que nous n’en aurons pas cette année et que c’est quelque chose que j’adore faire pendant cette période. On retrouve bien d’autres éléments qui nous rappelle les fêtes, comme les fameux pulls de Noël avec des têtes de rennes, ou bien sûr les références aux achats des cadeaux. Toutes ces petites choses font que je valide tout à fait qu’il s’agit bien d’une vraie romance de Noël !

Les chapitres représentent chacun un jour du mois de décembre, ils sont relativement courts, ce que j’aime bien dans les romans. L’histoire est fluide, et j’ai adoré la plume de l’auteure.

Au niveau des personnages, comme je l’ai dit précédemment, j’ai beaucoup aimé celui de Coline qui m’a fait beaucoup rire et auquel j’ai très vite réussi à m’identifier. On voit tout de suite qu’elle tient énormément à sa petite boutique, dans laquelle on se sent tout de suite bien grâce aux descriptions que nous en fait l’auteure. C’est un endroit que j’ai adoré, et heureusement puisque le roman se passe en grande partie là-bas. Quant à Adam, je l’ai adoré également ! J’ai aimé sa personnalité, sa créativité, le concept de son magasin. J’ai tout de suite accroché avec lui, c’est un personnage sensible qui m’a touchée. Malgré le fait que le roman soit relativement court, on s’attache vite aux personnages.

Merci à Hugo Roman pour cet envoi, j’espère qu’il continueront à publier autant de romances de Noël chaque année maintenant, parce que c’est un bonheur à lire en cette période ! Je me lance maintenant dans Les oubliés de Noël qui promet d’être vraiment super également.

Est-ce que vous aimez les romances de Noël ? Quelle est votre livre préféré pendant les fêtes ?

Sans faute

• Auteur : Maloria Cassis
• Editeur : Hugo Roman
• Collection : New Romance
• Date de parution : 5 novembre 2020

Résumé : Depuis plusieurs années, Charlène Lacroix tente d’oublier son passé en dévorant des livres, enfermée dans le domaine familial qui l’a vue naître. La vie lui a appris que s’attacher à qui que ce soit est un trop grand risque, elle veille donc à maintenir une distance de sécurité avec tous ceux qui pourraient réveiller son coeur.

De son côté, Alek Novakovic, joueur de handball promis à une grande carrière, se voit relégué du jour au lendemain dans un club de moindre envergure pour se remettre d’une blessure. C’est du moins ce qu’il affirme.

Entre Charlène et Alek, le contact est immédiatement explosif. Leur rencontre les renvoie à leurs faiblesses respectives et chacun devra accepter de s’ouvrir à l’autre pour se laisser une chance d’évoluer.

Mon avis

J’ai tout de suite été aspirée dans le roman, dès les premières pages. À peine avais-je lu les premiers chapitres que je sentais que j’allais adorer cette histoire ! J’ai passé un super moment, c’était une très bonne lecture, mais il m’a manqué un petit quelque chose pour que ce soit un coup de coeur.

Cette histoire met en scène Alek, un handballeur professionnel qui se voit relégué dans un petit club d’Alsace après une blessure. Là-bas, il logera dans la maison d’hôte de la belle-mère de Charlène, une jeune femme renfermée, qui passe son temps le nez plongé dans ses romans. Dès leur première rencontre, les choses ne se passent pas bien entre eux. Alors ils vont devoir apprendre à vivre sous le même toit, ainsi qu’à se faire confiance.

C’était un plaisir de retrouver la plume de Maloria Cassis, que j’avais pu découvrir grâce à sa saga Cooper Training (que j’avais complètement adorée). Dans ce livre, l’auteure aborde à nouveau des sujets importants, comme elle l’a fait dans chaque tome de la saga Cooper Training, et cette fois-ci, il s’agit du deuil et de l’illettrisme. C’est une chose que j’aime énormément avec les romans de Maloria Cassis, elle est très engagée et fait toujours passer de beaux messages à travers ses histoires.

Le personnage de Charlène m’a tout de suite touchée. Depuis la mort de sa mère, elle est renfermée sur elle-même et ne se laisse pas le droit de s’attacher à quelqu’un par peur de souffrir à nouveau. Je me suis très rapidement identifiée à elle. Elle a cette fragilité qui fait que l’on s’attache tout de suite à elle, et qui nous donne envie de l’aider. Pour celui d’Alek, j’avoue avoir eu du mal à supporter son impulsivité. Malgré tout, c’est un personnage attachant, et j’ai aimé son côté protecteur et patient avec Charlène. Il ne la presse pas, lui laisse le temps de se confier à son rythme.

La romance se met un peu trop rapidement en place à mon goût. Vous le savez maintenant, j’aime quand les histoires d’amour prennent leur temps, et j’ai trouvé qu’ici, les protagonistes craquaient un peu rapidement l’un pour l’autre. Mais à la fois, je les ai trouvés si mignons ensemble que je ne peux que valider ce couple !

Ma lecture s’est par contre un peu essoufflée vers la fin, j’étais légèrement déçue de la tournure que prend l’histoire. Je pense que c’est ce qui a fait que le roman n’est pas un coup de coeur, je ne m’attendais pas à ce retournement de situation. Même si tout finit bien, je ne pensais pas que les choses se passeraient de cette manière, et ça m’a fait mal au coeur pour Charlène. Malgré cela, il y a tout de même du positif dans cette fin dont certains passages sont vraiment émouvants, notamment les rapprochements entre Charlène et son père qui ont réussi à me mettre les larmes aux yeux.

Un énorme point positif que j’ai trouvé au roman et qu’il fallait absolument que je mentionne, c’est que Charlène est une grande lectrice et qu’elle possède un compte Bookstagram, qui est mentionné à la fin du livre avec une liste de lectures recommandées par la jeune femme. Je trouve que c’était une excellente idée, d’autant plus que, pour les livres que je connais, ce sont en majorité des lectures que j’ai adorées ! Alors n’hésitez pas rajouter ces romans à votre wishlist, pour ma part, j’y ai rajouté ceux que je n’ai jamais lus.

Je remercie les éditions Hugo Roman pour l’envoi de cette petite merveille, et je vous conseille de découvrir cette histoire qui est vraiment très belle.

Est-ce que ce roman vous tente ? Avez-vous déjà lu des livres de Maloria Cassis ?